1970
Scénario : François Truffaut, Claude de Givray,
Bernard Revon.
Musique : Antoine Duhamel.
Directeur de la photographie : Nestor Almendros.
Ingénieur du son : René Levert.
Première assistante réalisateur : Suzanne
Schiffman.
Scripte : Christine Pellé.
Décor : Jean Mandaroux.
Montage : Agnès Guillemot, assistée de Yann
Dedet.
Producteur délégué : Marcel Berbert.
Directeur de production : Claude Miller.
Production : Les Films du Carosse, Valoria Films (Paris),
Fida Cinematografica (Rome).
Procédé : Eastmancolor. Film 35 mm couleur.
Durée : 100 minutes.
Distributeur : Valoria Films.
Sortie : Septembre 1970.
Interprètes : Jean-Pierre Léaud (Antoine Doinel),
Claude Jade (Christine Doinel), Daniel Ceccaldi (Lucien Darbon),
Claire Duhamel (Mme Darbon), Hiroko Berghauer (Kyoko), Barbara
Laage (Monique), Sylvana Blasi (la femme du ténor), Daniel
Boulanger (le ténor), Claude Véga (l'étrangleur),
Bill Kearns (le patron américain), Yvon Lec (le contractuel),
Jacques Jouanneau (Césarin), Pierre Maguelon (un client
du bistrot), Danièle Girard (la serveuse du bistrot), Marie
Irakane (la concierge), Ernest Menzer (le petit homme), Jacques
Rispal (le séquestré), Guy Piérauld (le copain
SOS), Marcel Mercier et Joseph Mériau (les gens dans la
cour), Pierre Fabre (le ricaneur), Christian de Tilière (le
pistonné), Marcel Berbert, Nicole Félix et Jérôme
Richard (les employés de la société américaine),
Marianne Piketti (la petite violoniste), Annick Asty (la mère de
la petite violoniste), Jacques Robiolles (le tapeur), Ada Lonati
(Mme Claude), Nobuko Maki (l'amie de Kyoko), Iska Khan (le père de
Kyoko), Ryu Nakamura (le secrétaire Japonais), Jacques
Cottin (Mr Hulot), Marie Dedieu (Marie), le petit Christophe Vesque,
Mlle Irakane, Frédérique Dolbert et Mlle Barbault
(le nouveau-né Alphonse Doinel).
Antoine Doinel a épousé Christine Darbon. Ils habitent à Paris un vieil immeuble sur cour. Antoine tiend un stand de fleuriste où il essaie vainement de teindre des oeillets blancs en rouge. Christine donne des leçons de violon. Antoine déçu par les fleurs se fait embaucher dans une entreprise américaine d'hydraulique. On le paye pour faire joujou avec des maquettes de bateaux. C'est là qu'il apprend la naissance de son premier enfant, un garçon. C'est là aussi qu'il rencontre une très jolie Japonaise, Kyoko, avec qui il aura une liaison. Christine découvre le pot aux roses sous la forme d'un bouquet de fleurs envoyées par Kyoko à son amant. Christine et Antoine vont se séparer. Antoine découvre qu'il s'ennuie avec Kyoko alors qu'il a beaucoup à dire à Christine.